Bakerstreet

Le high de Bakerstreet est un véritable creeper, qui prend plusieurs minutes après l’ingestion pour commencer à exercer ses puissants effets. Les consommateurs finissent par ressentir une augmentation de la pression sanguine au niveau du visage, en particulier autour des tempes et des yeux.

Caractéristiques et origines

Elle partage peut-être son nom avec la résidence du célèbre détective fictif Sherlock Holmes à Londres, mais il n’y a pas de mystère quant à la raison pour laquelle cette plante puissante est si populaire. Bakerstreet est une indica pure, développée par les sélectionneurs canadiens LP Tweed et dérivée de la génétique de l’Hindu Kush. Elle offre un arôme unique et riche et des effets sédatifs durables. Bakerstreet se distingue dès le départ par des fleurs solides et bien formées. Ces bourgeons ont une structure indica résolument compacte et adhèrent à une formation remarquablement arrondie, presque sphérique. Les feuilles sont d’un vert mousseux et profond et sont torsadées par des pistils orange et marron. Des trichomes translucides à l’aspect glacé recouvrent ces fleurs qui attirent déjà l’attention, les faisant briller et leur donnant une texture très collante. Lorsqu’elles sont correctement traitées, les fleurs de Bakerstreet dégagent une odeur à la fois douce et acide, un peu comme de l’essence ou de la matière végétale fermentée. En y regardant de plus près, on y décèle également un goût piquant de fromage. Le broyage de ces pépites libère des notes de hasch, semblables à celles de l’encens, souvent associées à l’ascendance Hindu Kush de cette variété. Lorsqu’elle brûle, la Bakerstreet produit une fumée âpre qui peut piquer les sinus et le palais avec son arôme âcre. La fumée a un goût sucré avec des vapeurs de diesel légèrement astringentes à l’expiration.

Effets

Le « high » de la Bakerstreet est un véritable « creeper », qui prend plusieurs minutes après l’ingestion pour commencer à exercer ses puissants effets. En fin de compte, les consommateurs sont frappés par une augmentation de la pression sanguine au niveau du visage, en particulier autour des tempes et des yeux. Lorsque ces symptômes s’atténuent, les consommateurs peuvent remarquer que leur perception sensorielle est déformée : certains sons et images peuvent sembler plus intenses ou plus dynamiques, tandis que des distorsions visuelles telles que l’aplatissement de la perception de la profondeur sont également couramment signalées. Les personnes qui apprécient ce type de phénomène peuvent le pousser à son paroxysme en regardant un film captivant ou en écoutant une playlist (si vous vous sentez d’humeur méta, Baker Street, le morceau de saxophone de Gerry Rafferty, peut constituer une bonne base musicale pour Bakerstreet). En dehors de ces touches psychédéliques, la Bakerstreet n’apporte pas grand-chose en termes de stimulation mentale, et ceux qui cherchent à approfondir des questions difficiles ou des scénarios de résolution de problèmes sous l’influence de cette variété risquent d’être déçus. Au lieu de cela, cette indica est principalement appréciée pour son high corporel lourd et immersif. En relativement peu de temps, les fumeurs ressentent des vagues de relaxation qui irradient le corps et les extrémités. Tous les nœuds de tension physique peuvent être défaits par ce bourgeon thérapeutique, qui a tendance à pousser ses consommateurs à se diriger vers une surface confortable pour s’y allonger. Au fur et à mesure que la défonce corporelle de Bakerstreet devient de plus en plus prononcée, la possibilité d’un « couchlock » est réelle. À ce stade, il suffit de se détendre et de respirer profondément et facilement tout en commençant une session de binge-watching ou une activité passive similaire. En raison de ses vibrations presque entièrement somnolentes, la Bakerstreet est mieux réservée à un usage en soirée – ou au moins à un usage un jour où le fumeur n’a rien à accomplir. Sa capacité à calmer le bavardage mental peut améliorer temporairement les symptômes du stress, de la dépression, de l’anxiété et même du syndrome de stress post-traumatique. Ce bourgeon peut également atténuer la douleur physique, qu’elle soit temporaire, due à une blessure, ou chronique, due à des affections telles que l’arthrite ou le lupus. Les propriétés anti-inflammatoires, quant à elles, peuvent soulager les irritations quotidiennes telles que les maux de tête. Parce qu’elle est connue pour provoquer des états de pensée intenses et paranoïaques, la Bakerstreet peut être une bonne option pour ceux qui sont enclins à la panique ou qui ont une faible tolérance au THC.LP Tweed a tendance à maintenir un contrôle exclusif sur son stock de produits ; ainsi, les graines de la variété ne sont pas disponibles à la vente en ligne. Ceux qui souhaitent cultiver cette indica chez eux doivent essayer d’obtenir des coupures de plantes matures de Bakerstreet auprès d’une source fiable. Ces coupures peuvent être cultivées en tant que « clones » à l’intérieur ou à l’extérieur dans un climat chaud, ensoleillé et humide. Les plantes pousseront de manière courte et touffue avec de fortes ramifications latérales et pourront fleurir entre 8 et 9 semaines. L’effet stone de la Bakerstreet en fait un excellent régal pour la fin d’une longue journée ou semaine de travail. Cette variété peut être amusante pour un moment d’introspection en solo ou pour partager un moment avec de bons amis. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Informations complémentaires sur la Bakerstreet

Detail famille :
Taux de THC : 28.00%
Taux de CBD : 0.00%
Pays d'origine : Pays :
Moment : Nuit
Parent 1 : Hindu Kush
Parent 2 :

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